Le marché aux comestibles
Le premier marché aux comestibles se tenait rue Béthisy. En 1891, pour agrandir le marché, le Conseil Municipal vote le percement d’une rue transversale parallèle à la rue Béthisy, ce sera la rue du marché.
Cloches et clochers noiséens
Lors du bombardement de la ville le 18 avril 1944, le clocher est endommagé puis détruit, les cloches sont récupérées et déposées près de l’église (puis à l’intérieur). En 2004, la municipalité décide la réinstallation des cloches, non pas dans un clocher, mais sur une structure située sur un talus près de l’église.
Fin de carrière pour la locomotive baptisée « Noisy-le-Sec »
Le dimanche 20 octobre 1974 avait lieu, dans la cour marchandises de la gare de Noisy-le-Sec, le baptême de la locomotive diesel CC 72077 décorée aux armoiries de la ville de Noisy-le-Sec.
Culture et media / Environnement / Espace et territoire / Événement culturel / Expositions Histoire(s) / Moyens de locomotion / Témoignages / Vivre ensemble
Abécédaire de mes souvenirs d’enfant et d’adolescente en colonie de vacances
De 1963 à 1974, Odile Mazeron a fréquenté les colonies de vacances de la ville de Noisy-le-Sec. Elle témoigne.
Architecture / Espace et territoire / Histoire et mémoire / Patrimoine / Quartiers / Tourisme / Les balades sonores et visuelles / Une rue... un nom
Pas à pas, rue Henri Barbusse
Sur une carte de 1810, la rue Henri Barbusse porte le nom de « Chemin du bout d’en bas à Merlan » ; les Noiséens ont emprunté cet itinéraire depuis le village de Noisy pour se rendre au hameau de Merlan.
Espace et territoire / Histoire et mémoire / Quartiers / Témoignages / Tourisme / Les balades sonores et visuelles / Une rue... un nom / Vivre ensemble
Les commerces de la rue Jean Jaurès du n°55 au n°119.
Continuons notre balade rue Jean Jaurès, côté impair, de la rue Saint-Jean à la Gare....
avenue Georges Clémenceau
Dénommée à l’origine rue de la Victoire elle prend le nom avenue Georges Clémenceau décédé le 24 novembre 1929 (surnommé le Père la Victoire) le 14 février 1930.
Le Londeau de 1789 à 1964
C’est Nicolas Tripier, avocat et maire de Noisy-le-Sec de 1819 à 1829 qui, s’étant porté acquéreur de la ferme et des terrains du Londeau, fit construire la demeure bourgeoise, devenue plus tard Carmel, qui ne fut démolie qu’à partir de 1964. « En 1850, ses héritiers morcèlent les parcelles et les vendent aux enchères. Seules...
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Le fief du Londeau, des origines à 1789
Le nom Londeau est une déformation de « longue-eau ». L’orthographe actuelle date du début du 19ème siècle . Il y avait là un fossé qui recueillait les eaux sauvages provenant des hauteurs de la Boissière et du vallon de la Fontaine d’Orval.
14-18, ceux de Noisy / Culture et media / Écriture / Espace et territoire / Histoire et mémoire / Lecture
Offrez un best seller pour les fêtes !
Le recueil "1914-1918 Mémoires noiséennes" remporte un franc succès. A vous de le découvrir et pourquoi ne pas l'offrir pour les fêtes de fin d'année ?
Le gymnase municipal de la rue Damoiselet
Le 15 novembre 1902, le Conseil Municipal prend une délibération et décide de la construction d’une salle de gymnastique et d’une remise de pompe avec cheminée de séchage pour les tuyaux, rue Damoiselet.
