14 juin 1896, pose de la première pierre de l’Hospice de Saint-Antoine-de-Padoue

Hospice de Saint-Antoine-de-Padoue, antérieurement rue de Pantin, 32, et nouvellement installé dans une propriété de 4 000 mètres située rue Tripier prolongée. « L’établissement est dirigé par les sœurs de Notre-Dame-des-Sept-Douleurs, qui ont acquis cette propriété moyennant une somme de 25 000 francs, et y ont élevé les constructions qui composent l’hospice. La pose de la première pierre a eu lieu le 14 juin 1896.

L’hospice de Saint-Antoine-de-Padoue qui comprend 300 lits reçoit, moyennant une pension annuelle de 250 francs et 100 francs d’entrée, ou la somme de 1 000 francs une fois donnée, des vieillards des deux sexes, valides ou infirmes, domiciliés dans le diocèse de Paris. Les hommes sont reçus à partir de 70 ans et les femmes à partir de 60 ans. Actuellement, il abrite 100 malades des deux sexes soignés par 12 sœurs. Pendant l’hiver, cet hospice distribue des portions alimentaires contre des bons de 0,10 francs. »


(source : Etat des communes à la fin du XIXè siècle publié sous les auspices du Conseil Général, Noisy-le-Sec, notice historique et renseignements administratifs, 1900.)