Écriture
Noisy le 25 avril 1915

Noisy le 25 avril 1915

Maman (...) me dit que les deux fils du Père Burgy sont tués, Alphonse Pernot, Alfred Chapusat, le fils Aragon ton ancien patron sont tués aussi. Tu vois c'est terrible.
Noisy le 18 juin 1915

Noisy le 18 juin 1915

Je t'envoie un baiser de Noisy-le-Sec. Je te jure qu'il faut faire vite pour envoyer une carte...
Bien Chère Marguerite,

Bien Chère Marguerite,

"j’ai jamais eu un cafard comme cette fois ci car il ne veut pas passer, enfin il passera peut être bien..." "On descendra pour 18 jours car on fait 6 jours en ligne puis 18 jours un peu plus à l’arrière."
13 janvier 1915, Chère Mère...

13 janvier 1915, Chère Mère…

Je t'envoie ma photographie faite à Pont-à-Mousson tout près des Allemands.
La nouvelle année est arrivée !

La nouvelle année est arrivée !

Qu'elle vous soit douce et légère et pleine de belles histoires à partager.
Fort de Noisy le 13 novembre 1914

Fort de Noisy le 13 novembre 1914

Monsieur et cher ami,... vivement la fin de la guerre pour aller vous rendre visite.
Mes très Chères,

Mes très Chères,

"Je rentre de passer 3 jours de permission à Paris, car l'on y est d'avance."
1914-1918, l’image de l’enfant dans les cartes postales de propagande

1914-1918, l’image de l’enfant dans les cartes postales de propagande

Support de diffusion populaire par excellence, les cartes postales servirent pendant la Grande Guerre de vecteur de propagande. Comme tout le reste de la population, les enfants ont subi la guerre et ont vu leurs conditions de vie bouleversées. Tout au long du conflit, la propagande ne cessa d’utiliser l’image de l’enfance combattante.
Nuit du 18 avril 1944

Nuit du 18 avril 1944

Ils se souviennent...
Aux Archives de Paris : la première guerre mondiale à travers les témoignages de Maurice Genevoix et Ernst Junger

Aux Archives de Paris : la première guerre mondiale à travers les témoignages de Maurice Genevoix et Ernst Junger

Ils se battirent l’un contre l’autre, à la tranchée de Calonne, et furent blessés le même jour. Ces deux hommes, si jeunes, vécurent le même conflit, l’un germanophile, l’autre francophile, l’un et l’autre amoureux des lettres et du pays ennemi.
On les aura quand même !

On les aura quand même !

Noisy, 24 janvier 1917 : on y gèle et impossible de dormir faute de places pour se coucher...
28 février 1916, les trois amis

28 février 1916, les trois amis

"Hier dimanche comme repos j'étais convoyeur du côté de Soissons, rentré ce matin à 4heures...."