Jean-Marie Thouminot, mort pour la France à l’hôpital d’évacuation n°2 de Noisy-le-Sec
Mort, suite aux blessures de guerre du 29 août 1918 à Sains Richaumont (Aisne), à l'hôpital d'évacuation n°2 le 30 août 1914 à Noisy-le-Sec.
Lieu d'inhumation, Carré militaire du Nouveau Cimetière à Noisy-le-Sec.
Le Dragon Claude-Auguste Vrinat, mon grand-père
La grande guerre éclate, mon grand-père est mobilisé le 3 août 1914...
31 juillet 1914 vers 20 heures
Un des derniers remparts contre la guerre tombe. "Ils ont tué Jaurès". Ce grand homme politique n’est jamais venu à Noisy-le-Sec. Pourtant ses traces sont nombreuses dans l’histoire de la ville…
A la gare de l’Est, un hommage aux poilus
Les portraits de seize poilus de la guerre de 14-18 flottent dans le ciel du hall d'Alsace de la gare de l'Est à Paris. A voir jusqu'en novembre 2014.
« Sourire quand même » histoire du poilu Henri Salvette
Telle est la devise de l'Union des Blessés de la Face et de la Tête (UBFT) qui se surnommèrent " Les Gueules Cassées ". Henri Salvette fut l'un d'entre eux.
Hommage à Raymond Jost
Né le 20 janvier 1918 à Noisy-le-Sec, le sous lieutenant Raymond Jost a été abattu lors d'un vol de reconnaissance le 5 juin 1940 sur la plage d'Ault-Onival (80).
Il repose désormais au carré militaire du Nouveau Cimetière.
Le Chanoine Alfred Daviet
Une figure emblématique de la Paroisse Saint-Etienne. Le Chanoine Daviet a laissé un grand souvenir, non seulement aux paroissiens, mais aussi à tous les Noiséens, ayant passé 26 ans dans notre ville, de 1926 à 1952.
Un Normand à Noisy-le-Sec en 1914-1915
Olivier Chollet nous raconte le passage de son arrière-grand-père à Noisy-le-Sec durant la première guerre mondiale. Merci pour cet éclairage "provincial".
Mon grand-père Camille Espaullard
Mon grand père Camille Espaullard, né le 19 janvier 1898, a fait partie de la classe 18 et appelé le 1er avril 1917 et n’a été démobilisé que le 15 juin 1920.
28 février 1916, les trois amis
"Hier dimanche comme repos j'étais convoyeur du côté de Soissons, rentré ce matin à 4heures...."
7 décembre 1932, salle du Casino-Cinéma Jojot
Ce jour là, Jean Winkopp de l'Opéra-Comique, Prix d'Excellence du Conservatoire National, était sur scène.



