Au lendemain du bombardement, la mairie dresse le bilan :

Ce sont les rues de Paris, du Garde-Chasse, le passage de la Mairie et l’avenue de la Liberté qui furent le plus touchés.


L’immeuble de la pharmacie Bouzat
Le 3 mai 1944, le Maire des Lilas signale à M le Préfet la présence de deux bombes à retardement non éclatées dans la cité jardin.


Bombe non explosée
source : Archives Municipales de la ville des Lilas


